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 Edda Zofiadottir, serveuse (Entre autre)

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Edda Zofiadottir

Edda Zofiadottir


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MessageSujet: Edda Zofiadottir, serveuse (Entre autre)   Edda Zofiadottir, serveuse (Entre autre) I_icon_minitimeDim 12 Sep - 21:01

Comment avez-vous atterrit sur Chaos Planaire ? Par un top site: www.sawen.net/


Nom et prénom : Edda Zofiadottir, dite Âmiroir.

Age : 24 ans

Sexe : Féminin

Race : Humain, Öormagoden

Métier: Assassin, sous couvert de serveuse.

Equipement habituel : A part ses vêtements et son anneau, Edda porte juste ses deux dagues jumelles: Vatn et Eldur. Les rares personnes du Milieu qui ont entendus parler d'Âmiroir murmurent que la première a un tranchant aussi glacé que les eaux qui bordent Glënnhenge et que quiconque est blessé par son fer sera paralysé par un froid glacial. On dit aussi que la seconde inflige des blessures si douloureuses qu'elles provoquent une brûlure qui consumera l'âme de sa victime.
En pratique, c'est juste des dagues de facture Naine bien entretenues, mais on ne peut pas empêcher les gens de colporter des rumeurs.

Alignement : Chaotique neutre


Description physique :
C'est assez délicat de contredire les origines nordiques d'Edda en voyant ses cheveux de lin et ses yeux bleu azur. Du haut de son mètre septante neuf, elle est plutôt petite pour une Öormagoden, mais elle en a la stature athlétique caractéristique même si ses muscles sont beaucoup plus allongés que gonflés. Son visage arrondi est assez joli selon les standards humains, mais elle a cette lueur étrange dans le regard qui met mal à l'aise pas mal de personnes.
Cependant, en temps normal Edda est un modèle de courtoisie et de sociabilité: Aimable et agréable. Les gens lui font facilement confiance et oublient vite l'impression glauque qu’évoquent ses yeux.
Elle se déplace avec souplesse et légèreté, un peu comme une danseuse, ce qui associé avec ses vêtements légers (grandir dans un pays ou -5° est considéré comme du beau temps laisse des séquelles) font d'elle une des serveuses les plus populaires de la petite taverne d'Alba ou elle travaille, le jour.
C'est relativement une chance que les gens regardent rarement ailleurs que sa poitrine. Sinon tout le monde aurait remarqué depuis longtemps les crispations qui agitent ses doigts par moments, de même que sa sale manie d'arracher l'intérieur de ses joues à coup de dents.
Personne ne l'a jamais vue au cours d'un contrat d'assassinat, ce qui a eu le double effet de créer le boogeyman qu'est Âmiroir et d'en faire une sorte de légende urbaine. En pratique, il y a énormément de gens qui l'on vu au cours de ses contrats d'assassinat. Aucun Mage-commerçant de Veniccia ne se méfiera jamais quand une jeune femme blonde vien lui demander des fioles de colorant pour cheveux, des onguents qui changent la couleur des yeux, des philtres rendants la voix plus sensuelle, plus profonde ou encore des poudres pour paraître plus petite et donc plus mignonne.

Spoiler:

Description psychologique :
Afin de cultiver un certain mystère face à la Psyché d'Edda, je préfère ne pas publier sa description psychologique.
Je l'enverrait par MP au membre du staff qui s'occupera de ma validation.


Autres : Mis à part un certain don pour le déguisement et un système de valeurs assez perturbant, par grand chose. Elle à apprit à faire des cocktails et de la chirurgie sur le tas.


Histoire :

Il n'y a que deux choses qu'Edda ressent: La douleur cuisante des griffures de la boucle de ceinture dans son dos et le plaisir des chocs sourds des coups qui couraient de la tête de la hachette jusque à son omoplate. Elle à depuis longtemps traversé les os et la chair pour s'enfoncer dans la tourbe tassée qui forme le plancher de la petite maison à l'intérieur des terres d'Öormagoden. Puis d'un coup elle prend conscience qu'elle est à cheval sur un corps, que sa chemise de nuit n'est pas tachée que de son seul sang, que sa mère tien sa main cassée contre sa poitrine, que son frère le glaive au poing la regarde comme si il était face à un loup. La petite fille baisse les yeux sur la hachette dans ses mains. C'est celle de sa mère. Elle s'en sert pour découper le gibier en quartiers habituellement.
Puis elle regarde l'homme qui est sous elle. Elle le reconnaitrait entre mille malgré les coups de hachette. Mais elle n'ose pas se dire que c'est lui, elle ne peut pas. C'est a ce moment qu'un embrun frappe son visage.

Edda se réveilla en sursaut et se retourna pour tousser et évacuer les gouttes d'eau de mer qui s'étaient infiltrées dans ses poumons. En s'adossant aux cordages qui lui servent de paillasse au fond de la cale du navire, elle comprenait pourquoi les marins dorment dans des hamacs quand ils sont en mer.
Elle était totalement trempée. Ce qui expliquait pourquoi elle n'avait pas remarqué les larmes qui coulaient le long de ses joues.

***

Edda ouvrit les yeux sur un plafond fait de chaume posé sur de grosses branches provenant d'arbres hétéroclites. Elle était allongé sur un matelas de paille, la tête posé sur un tas de chiffon. Elle était recouverte par une couverture de laine douce. Elle restait là, toujours fatiguée malgré le sommeil.
Lorsqu'elle entendit quelqu'un s'éclaircir la gorge plus loin dans la pièce, elle tenta de se relever, mais une violente douleur sur le coté la cloua au lit avec un cri de douleur retenu tant bien que mal.
« Holà gamine, calme toi ! Tu est un peu trop amochée pour bouger. »
En tournant la tête, Edda put distinguer un petit homme aussi large que haut, avec une musculature qui ne rivalisait qu'avec sa large barbe rousse. Elle resta là sans bouger, serrant la couverture contre elle comme si c'était une armure. Le nain était assit en tailleur devant un petit feu qui brulait dans la cheminée de la masure. Il flottait dans l'air les odeurs mêlées de la viande grillée et du fer chaud. Avec des gestes rendu précis par l’expérience, le compagnon inattendu de la jeune fille fourra l'anneau de métal dans les braises à l'aide d'une pince, puis découpa une belle tranche dans le sanglier qui cuisait doucement au dessus du feu. Il posa la pièce de viande dans une assiette de bois qui contenait déjà une tranche de fromage jaune et une part de pain noir. Puis il se leva pour apporter le tout à la blessée.
En s'aidant de ses pieds, Edda s'éloigna le plus possible du nain, jusqu'à ce que la douleur surpasse sa peur. Cela fit stopper le cuisinier forgeron.
« N'ai pas peur petiote, je ne te veut pas de mal … »
Sa voix bourrue se voulait apaisante, mais Edda ne fit que s'éloigner un peu plus en rassemblant ses maigres forces. Son sauveur resta là, sans trop savoir quoi faire, à réfléchir à un moyen d'amadouer la jeune fille.
Au bout d'un moment, il déposa l’assiette sur le sol. Il ne se releva pas immédiatement et détacha les lanières qui retenaient deux dagues placée face à face dans un même fourreau de sa cuisse. Il déposa les armes a coté de l’assiette et retourna devant le feu. Tout en sortant la fine pièce de métal du feu pour la poser sur une petite enclume et la travailler à l'aide d'un marteau minuscule, il dit:
« Tu est un vrais petit chat sauvage toi. Pas étonnant que tu soit dans cet état si tu est aussi farouche avec des bandits de grand chemin. Enfin bon. Maintenant tu as des griffes donc tu n'a plus à avoir peur. »
Edda resta un moment à le regarder travailler avec méfiance. Le silence s'installa, ponctué par les coup de marteau réguliers de l’Artisan. Peu à peu, le silence fut également brisé par les gémissements de la jeune nordique alors qu'elle progressait lentement vers les dagues et l’assiette. Elle fini par arriver à s'en saisir, mangeant avec appétit tout en serrant les lames contre sa poitrine d'une main crispée.

***

les chaos de la routes faisaient grimacer Edda assez régulièrement. Cependant, elle était trop fière pour avouer que ses blessures lui faisaient mal. Son état s'était bien amélioré depuis qu'elle avait rencontré Retyard. Son oeil au beurre noir n'était plus qu'une petite marque violette qui trônait à la place d'une de ses cernes et les sutures de son flanc avaient cessé de lui faire mal en permanence.
Elle observait l'anneau en argent que le Nain avait forgé pendant qu'ils étaient tout les deux bloquées par la neige. Le travail était d'une finesse extrême tout en étant simple, presque brut. Le bijou semblait être une création naturelle, au même titre qu'un cristal de quartz ou que des orgues basaltiques.
« Vous avez vraiment du talent Monsieur Retyard. Je comprend pourquoi les Viniccien sont aussi friands de vos créations.
- Je t'ai déjà dit d’arrêter de me donner du Monsieur, gamine.
- Pardon, c'est un réflexe.
- T'excuse pas pour ça, arrête c'est tout. Mais merci pour le compliment. En tant qu’artisan c'est toujours un plaisir de voir son travail reconnus. Ça prouve que je vais pouvoir tirer un bon prix de cet anneau. »
Le Nain éclata d'un de ses fameux rires, franc et brut. Edda quand à elle était plus pensive. Une fois l'hilarité de son compagnon terminée, elle continua la conversation.
« J'aimerait bien savoir en faire autant.
- Tu n'a pas les mains qu'il faut petiote. La forge, que ce soit pour des haches ou pour des anneaux, ça demande quelques qualités inées. »
Edda resta silencieuse, d'humeur assez sombre. Suffisamment sombre pour que Retyard le remarque.
« Ho petite, soit pas tristoune pour ça. Comme disait mon oncle, on a tous un talent, et c'est notre devoir de le trouver pour le cultiver et en tirer profit.
- Oui, vous avez sans doute raison. » Répondit elle sans trop de conviction.
Ne sachant pas vraiment quoi ajouter, le nain se remis à bourrer sa pipe. Edda quand à elle avait la main serrée sur la garde d'une des dagues. Son sauveur avait insisté pour qu'elle les garde.
La phrase résonnait dans sa tête : ''Quand on a du talent, on se doit d'en tirer profit. Quand on a du talent, on se doit d'en tirer profit. Quand on a du talent, on se doit d'en tirer profit. ''
Ce mantra la poursuivi jusqu'au port ou le bateau Viniccien les attendaient, et même au delà quand elle regardait l'horizon accoudée au bastingage, alors qu'elle faisait tourner l'anneau d'argent entre ses doigts.

***

Enfin, aprés presque deux mois, le tribun Alessandro réussissait à se détendre. Et c'était sous les doigts experts de la masseuse.
Le titre qu'il considérait comme insultant de Pilier de la nation que lui donnait la plèbe, les constants ronflements de ses collègues attendant de mourir des effets conjugués d'un cirrhose et d'une maladie vénérienne, les menaces de mort dont il était la cible, le labyrinthe bureaucratique qu'il devait traverser pour arriver à trouver des preuves dans l'affaire de corruption qui était devenue sa croisade, tout cela s'envolait en même temps que les tensions de ses muscles dans l'odeur des huiles de jasmin.
Il pensait à son collègue Michail qui lui avait conseillé cet établissement de bain pour le talent et le charme de ses masseuses. Le bureaucrate songeait à lui envoyer une des bouteilles de sa cave, sur lesquelles son ami avait lorgné lors de leur dernier Diné. L’établissement, comme les damoiselles, était à la hauteur de la description qu'on lui avait faite. La fille qui était en train de dénouer les muscles de ses épaules, une certaine Gabriele, était particulièrement à son goût avec ses longs cheveux noirs et lisses, et malgré sa grande taille et sa peau trop pâle.

Plongée dans une douce torpeur, Alessandro obéit comme un automate quand l'employée des bains lui dit
« Si vous voulez bien vous donner la peine de vous lever. Votre bain est prêt. »
''La peine'', le mot était bien choisi. Le politicien ne s'arracha de la table de massage que pour succomber aux promesses de l'eau chaude et parfumée. Il se glissa dans l'eau chaude en remerciant la servante.
« Merci pour le massage. J'ai l'impression d’être au paradis. Il y a deux pièces d'argent qui trainent dans une des poches de mon veston, vous pouvez les prendre en sortant. »
Il vit la gratitude dans les yeux verts de la jeune femme, qui le remercia chaleureusement. Mais eu lieux de s'éloigner elle resta plantée devant le baquet, un air indéchiffrable sur le visage.
« Il y a un problème ? Interrogea l'homme.
- Non, pas du tout … Je me demandait juste si … »
Elle prit une grande inspiration et s'appuya sur le baquet.
« Si monsieur le désire je n'ai pas d'autre clients. Je peut rester. »
Tout en luttant pour ne pas lorgner dans le décolleté de la jeune femme Alessandro essayait de déchiffrer son expression. Elle irradiait de sensualité mêlée à de l'innocence, mais l’étrange lueur prédatrice dans son regard ne laissait aucun doute sur ses intentions. Un stratagème probablement rodé depuis des années de pratique, et qui devait être pour beaucoup dans la réputation de l'établissement. Le notable avait été plus que vertueux ces dernières années: pas un écart, ce qui est d'autant plus remarquable dans la société Vincienne qu'il considérait comme décadente. D'ordinaire, il aurait refusé en prétextant l’indécence, mais il en avait assez de se priver du plaisir de la débauche.
Un simple signe de tête et la jeune femme se glissait dans l'eau sans prendre le temps de retirer sa tunique. Elle ordonna au tribun de se détendre tout en posant un linge imbibé d'eau chaude sur son visage. Il perdait le contrôle de la situation, mais c'est ce dont il avait besoin. Il entendit le bruit du tissus mouillé alors que les mains de la jeune femme s'était éloigné de sa peau, mais il n'eu pas le temps de se laisser aller a ses pensée lubriques. Une lame venait de pénétrer entre ses côtes jusqu'à trouver son poumon.

Alessandro essaya de crier, mais la dague tourna dans la plaie et la contraction du diaphragme aspira l'eau chaude qui entourait la perforation plutôt que l'air. Alor qu'il commençait à se noyer, l’énergie du désespoir envahis son corps. Le mourant s’apprêta à se débattre, poussé par son instinct de survie, mais une seconde lame s'enfonça à la base de sa gorge. Elle transperça sa trachée et son œsophage de part en part jusqu'à sectionner le bas de son bulbe rachidien.
Le tribun fut confronté à ses dieux oubliés depuis longtemps avant de souffrir réellement de la douleur de sa seconde blessure.

Edda resta crispé quelques seconde sur le corps de sa victime, savourant cet instant plus que s'assurant de la mort effective de sa cible. Elle fini néanmoins par par retirer ses lames du corps avant de se relever, les muscles des cuisses un peu endoloris a force d'avoir serré le corps. Elle sauta sur une épaisse serviette qu'elle avait pris soins de poser prés de la baignoire en préparant le bain et commanda à se sécher.
Elle laissa la robe souillée de sang dilué sur la serviette et fila vers l'armoire. Elle l'ouvrit en faisant un pas de coté et rattrapa avec habileté le corps de la servante brune des bains qu'elle avait empoisonnée au Laudanum la veille. Elle la déposa dans le bain, à la place qu'elle venait de quitter, avant de se diriger vers le sac qu'elle avait laissé avec le corps. Elle se rhabilla rapidement, jeta le sac sur son épaule et avança vers la fenêtre en sortant la dague gravée aux armes du clan Raguetti d'un des deux fourreau qui étaient plaquées contre ses reins: la deuxième partie de son contrat. En passant a coté du baquet, elle la planta d'un geste distrait dans le dos de la servante et continua pour ouvrir la fenêtre, non sans avoir récupérée Vatn et Eldur au passage, de même que la serviette et la robe. Après s’être hissé à l'extérieur, elle brisa la fenêtre de l'extérieur et sauta dans la paille de l'écurie.
Une poignée de minute après, elle sourit en entendant le hurlement strident d'une des masseuses alors qu'elle se faufilait dans la foule dense qui occupaient les plates formes permettant au piétons de ne pas toucher le sol, disparaissant dans la masse.

EDIT: je vien de voir en trainant un peu sur le fofo qu'il y avait déjà un nombre assez impressionnant d'Assassin. Si ça peut aider je peut faire un autre perso.
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Edda Zofiadottir, serveuse (Entre autre)
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